Géroudet
Le cri le plus fréquent du Grosbec est un tsicc... ptic... tzitts... dur, bref et perçant, aussi redoublé, qui claque comme une petite explosion, Le bec fermé, ou presque, l’oiseau émet un appel doux et fin, un tsih... ou sih... allongé qui précède souvent l’envol. L’alarme est marquée par des sons d’intensité variable : kieu... tzeuc... srrrît... Un jeune lance des séries de tititit... tchictchic... D’autres émissions vocales sont décrites en détail par Mountfort. Dans le courant de février, quand l’oiseau devient plus loquace, un chant rudimentaire se dessine, rappelant celui du Bouvreuil. Le mâle prélude avec quelques notes brèves, espacées, pousse un ou plusieurs sons traînés, montants ou descendants, aigres ou musicaux, intercale des cris, des grincements tout en battant la cadence avec des mouvements d’ailes et de queue. C’est ainsi que naît une strophe très modeste et variable, au rythme lent. Plus rarement encore que ce chant, qu’on entend jusqu’au début de juin, il faut noter un babil en sourdine, émis en chœur avec des compagnons.
Wroza
NIVEAU D’ÉCOUTE. Chant très discret, que l’on n’entend que rarement. Cris forts mais aigus et brefs donc passant très facilement inaperçus.
CRI SIFFLÉ. C’est le type de cri le plus fréquent lorsque les oiseaux volent, un sii qui évoque un sifflement très aigu, bref et énergique, avec un côté très tranchant. COUP DE CISAILLE. Autre type de cri régulier de l’espèce, souvent entendu chez les oiseaux posés, c’est un tsip incisif évoquant des coups de cisaille
Enregistrement #1
Enregistrement #2
Enregistrement #3
Enregistrement #4
- Enregistreur : Stanislas Wroza
Enregistrement #5
- Enregistreur : Stanislas Wroza