Géroudet
La vivacité des mouvements se retrouve dans les émissions vocales. En plus des sit... sit... de toutes les Mésanges, elle a un cri typique, plein d’énergie,
souvent double : pistyè... pistyu... tsidè... ou même triple pitsitsiu... dont les syllabes sont aussi données séparément ; les variantes en sont très nombreuses et il semble que ce soit seulement une manifestation d’oiseau cantonné. L’alarme, l’excitation ou l’agressivité rendent sa voix plus dure, presque nasale : tsip dèdé-didî... tsié dédèdî... tsip terrerrerrè... cris d’ordinaire assez pressés, qu’on retrouve en plus grave et plus traînant chez la Mésange boréale. Une émotion plus vive, comme l’apparition d’un Épervier, suscite un pitz explosif. Quant au chant, il consiste essentiellement en une rapide répétition d’un même motif, d’ailleurs fort variable selon les strophes et les individus. C’est de janvier à avril qu’on entend surtout ce sifflet clair et argentin : tyiptyiptyiptyiptyip.... tsiètsièt-siètsiètsiè... pyipyipyipyi... ou quelque autre version due à la fantaisie du petit chanteur ; après avoir répété la même rengaine des heures durant sans se lasser, il passe brusquement à une autre, invente des modulations et des combinaisons nouvelles propres à intriguer l’auditeur ; son chant s’apparente aussi souvent aux martèlements trisyllabiques de la Charbonnière.
souvent double : pistyè... pistyu... tsidè... ou même triple pitsitsiu... dont les syllabes sont aussi données séparément ; les variantes en sont très nombreuses et il semble que ce soit seulement une manifestation d’oiseau cantonné. L’alarme, l’excitation ou l’agressivité rendent sa voix plus dure, presque nasale : tsip dèdé-didî... tsié dédèdî... tsip terrerrerrè... cris d’ordinaire assez pressés, qu’on retrouve en plus grave et plus traînant chez la Mésange boréale. Une émotion plus vive, comme l’apparition d’un Épervier, suscite un pitz explosif. Quant au chant, il consiste essentiellement en une rapide répétition d’un même motif, d’ailleurs fort variable selon les strophes et les individus. C’est de janvier à avril qu’on entend surtout ce sifflet clair et argentin : tyiptyiptyiptyiptyip.... tsiètsièt-siètsiètsiè... pyipyipyipyi... ou quelque autre version due à la fantaisie du petit chanteur ; après avoir répété la même rengaine des heures durant sans se lasser, il passe brusquement à une autre, invente des modulations et des combinaisons nouvelles propres à intriguer l’auditeur ; son chant s’apparente aussi souvent aux martèlements trisyllabiques de la Charbonnière.
Wroza
NIVEAU D’ÉCOUTE. Chant et cris énergiques et fréquents, mais qui peuvent facilement passer inaperçus parmi d’autres espèces de mésanges. Les oiseaux qui se nourrissent sont parfois étonnamment discrets (cris fins et faibles)
CHANT TYPIQUE. Le chant est composé de séries de cinq à dix notes monosyllabiques qui sont répétées à l’identique : tsiu tsiu tisu, etc. Le cri le plus caractéristique a une sonorité explosive, c’est un pit-siou énergique, émis de façon isolée ou dédoublée. Le cri est typiquement montant puis descendant, ce qui produit une sorte de couinement.
Enregistrement #1
Enregistrement #2
Enregistrement #3
Enregistrement #4
Enregistrement #5
Enregistrement #6
Enregistrement #7
Enregistrement #8
Enregistrement #9
Enregistrement #10
Enregistrement #11
- Enregistreur : Stanislas Wroza
Enregistrement #12
- Enregistreur : Stanislas Wroza
Enregistrement #13
- Enregistreur : Stanislas Wroza