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Géroudet
La parenté de cet oiseau avec les Mésanges est évidente dans les émissions vocales, variées et fréquentes. Les tsi... sitt... tsit-tsitt... tantôt fins, tantôt aigus, souvent liés en séries, qui accompagnent la recherche de la nourriture en toute saison, sont aussi des cris de ralliement, de contact. Mais le son fondamental de son vocabulaire est le tui... ou tuit sifflé, qui prend des intonations diverses selon les circonstances ouittouit... witt..., touitt..., tiétié..., tiatiatiatia ! etc. ; il peut être calme et doux, ou bien sonore et décidé. Les trècktrècktrèck... ou tvèt-vètvètvèt... précipités dénotent l’excitation d’une rencontre, l’issue d’une dispute, un dérangement ; le ttirrr de défi précède une poursuite ou un combat, et un èèh râpeux accompagne l’attaque : contre un Pic menaçant le nid, les cris d’alarme se mêlent de trr brefs. Parfois une Sittelle lance un puiiii plaintif et prolongé, volontiers par temps humide, ce qui lui a valu, bien sûr, le nom d’ « oiseau de pluie ». Son tempérament vif et remuant s’exprime sans relâche par des cris ; par exemple, elle ne manque jamais d’en lancer quand elle aborde un bouquet d’arbres, et si d’autres individus de l’espèce s’y trouvent, ils ne se font pas faute de lui répondre, sur des tons différents, déclenchant pour un moment une « discussion » du plus curieux effet.
Le chant du mâle, sous sa forme la plus courante, est la répétition d’un sifflet éclatant, soit ascendant tuu tuu tuu tuu... ou tuituituitui... - l’oiseau plus ou moins excité accélère sa série en répondant à un voisin - soit descendant vîù vîu vîu vîu ... et alors plus espacé, le premier son appuyé, le second bref ; ces séries de quatre à dix-sept sons sont émises sur des rythmes très variables. La troisième forme est une répétition si rapide du sifflet qu’elle devient un trille difficile à transcrire, à peu près trrrrtu... ruiruirui... ou tchirrirrirrirri. Enfin l’on entend aussi des pîhpîhpîh... et si on cherche le chanteur, on le verra figé au départ d’une branche dans une position verticale, bec pointant vers le ciel, montrant la blancheur de sa gorge. Les chants commencent à retentir en janvier, par les journées douces et ensoleillées ; février et mars en voient le point culminant, puis leur ardeur décline jusqu’en mai. Des chanteurs peuvent encore
Le chant du mâle, sous sa forme la plus courante, est la répétition d’un sifflet éclatant, soit ascendant tuu tuu tuu tuu... ou tuituituitui... - l’oiseau plus ou moins excité accélère sa série en répondant à un voisin - soit descendant vîù vîu vîu vîu ... et alors plus espacé, le premier son appuyé, le second bref ; ces séries de quatre à dix-sept sons sont émises sur des rythmes très variables. La troisième forme est une répétition si rapide du sifflet qu’elle devient un trille difficile à transcrire, à peu près trrrrtu... ruiruirui... ou tchirrirrirrirri. Enfin l’on entend aussi des pîhpîhpîh... et si on cherche le chanteur, on le verra figé au départ d’une branche dans une position verticale, bec pointant vers le ciel, montrant la blancheur de sa gorge. Les chants commencent à retentir en janvier, par les journées douces et ensoleillées ; février et mars en voient le point culminant, puis leur ardeur décline jusqu’en mai. Des chanteurs peuvent encore
Wroza
NIVEAU D’ÉCOUTE. Cris et chants fréquents et puissants, faciles à entendre.
CHANT. La Sittelle torchepot est plus facilement détectable à ses cris typiques qu’à son chant, assez variable. Celui-ci est composé de notes claires et rondes répétées en séries : pui-pui-pui etc. Le rythme peut être rapide ou lent.
Enregistrement #1
Enregistrement #2
Enregistrement #3
Enregistrement #4
Enregistrement #5
Enregistrement #6
Enregistrement #7
Enregistrement #8
Enregistrement #9
Enregistrement #10
Enregistrement #11
Enregistrement #12
- Enregistreur : Stanislas Wroza
Enregistrement #13
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Enregistrement #14
- Enregistreur : Stanislas Wroza