Bergeronnette grise (Motacilla alba)(c) © Tomas Broucek, some rights reserved (CC-BY)

Géroudet

Connaître l’oiseau, c’est aussi le déterminer à son cri habituel, un tchissir. ou tchissip... aigu et perçant - moins aigu et plus adouci toutefois que celui de la Bergeronnette des ruisseaux - poussé à tout propos et surtout au vol. Ses variantes se transcrivent tsit... tsississ... tsivit..., etc., et il faut leur ajouter un pllyî mouillé, un te hic d’alarme. Le chant est une combinaison très variable des cris répétés et de diverses modulations dans la même tonalité élevée, formant des phrases émises soit au vol, soit sur un perchoir. Quand le mâle, posé sur le faîte d’un toit ou sur une pierre, gazouille tranquillement, on dirait volontiers qu’il le fait pour lui-même et non, comme d’autres Passereaux, pour marquer sa présence sur son territoire. Le tchissic incisif, longuement répété à intervalles réguliers, serait plus caractéristique de cette dernière intention.
NIVEAU D’ÉCOUTE. Cris assez puissants et caractéristiques. Le chant s’entend plus rarement et s’avère plus complexe à déterminer. CRI DE VOL. On entend le plus souvent un tsilip explosif, l’élément de base étant souvent dédoublé, voire triplé. Ce son s’entend fréquemment à l’envol des oiseaux ou en migration, parfois associé à d’autres variantes plus brèves conservant toujours un timbre explosif.
  • Enregistreur : Stanislas Wroza
  • Date : 2019-04-16
  • Heure : 07:00
  • Pays : France
  • Altitude : 0
  • Enregistreur : Tanguy Loïs
  • Date : 2020-02-23
  • Heure : 08:00
  • Pays : France
  • Altitude : 130
  • Enregistreur : Tanguy Loïs
  • Date : 2020-10-28
  • Heure : 07:30
  • Pays : France
  • Altitude : 150
  • Enregistreur : Stanislas Wroza
  • Enregistreur : Stanislas Wroza
  • Enregistreur : Stanislas Wroza
  • Enregistreur : Stanislas Wroza