(c) Vesa Oikonen, no rights reserved (CC0)Géroudet
L’appel le plus fréquent est un kâ... kaah... kao... ââh... plus bas et moins rauque que le croassement ordinaire de la Corneille noire ; sa modulation et son intonation ont une marge de variation étendue, et peuvent atteindre une tonalité bien plus élevée que chez cette dernière, ou se réduire à des grognements.
Dans les corbeautières, et auprès des dortoirs, un bon nombre d’autres cris peuvent-être entendus: kè-ok... kio... kriouk... korr... hu.... etc. ; on a enfin signalé un babil guttural plus ou moins discordant qui serait le « chant ».
Dans les corbeautières, et auprès des dortoirs, un bon nombre d’autres cris peuvent-être entendus: kè-ok... kio... kriouk... korr... hu.... etc. ; on a enfin signalé un babil guttural plus ou moins discordant qui serait le « chant ».
Wroza
NIVEAU D’ÉCOUTE. Cris puissants, faciles à entendre.
CRI TYPIQUE. Les cris sont extrêmement rêches et diffus. Ils sont ainsi moins ronronnants, donc encore moins mélodieux (et plus sinistres !), que ceux de la Corneille noire. Le Corbeau freux possède un répertoire peu diversifié et pousse souvent exactement les mêmes types de cris, présentés ici.
